Sainte Barbe

En ce 4 décembre nous fêtons Sainte Barbe.

 

Sainte Barbe représentée avec une tour qui rappelle sa captivité et portant la palme du martyre et une lampe de mineur. Plâtre polychrome, 40 cm, début 20è siècle, coll. particulière.

Sainte Barbe aurait vécu au milieu du III ème siècle à Nicomédie en Asie Mineure, aujourd’hui Izmit, en Turquie. La tradition raconte que son père, un riche païen du nom de Dioscore, pour la protéger des assauts de prétendants trop entreprenants ou pour l’empêcher de devenir chrétienne, décide de l’enfermer dans une tour. Elle réussit à s’enfuir mais son père la rattrape et la décapite. Il est aussitôt châtié par le Ciel : Dioscore meurt frappé par la foudre.

Sainte Barbe protège contre la foudre, la mort subite et donc contre le fameux coup de grisou. Elle est non seulement la sainte patronne des mineurs mais aussi de plusieurs corporations devant affronter le feu : les sapeurs pompiers, les artificiers, les artilleurs.

Le fort patronage que lui vouaient les mineurs de fond s’est progressivement transmis aux ouvriers et ingénieurs des travaux souterrains avec la disparition progressive de l’industrie minière occidentale. De nos jours, une Sainte Barbe trône toujours à l’entrée des tunnels en construction pour protéger les ouvriers – mineurs des accidents de chantier. Dans les bassins houillers du Nord et de l’Est de la France, de nombreuses églises ou chapelles sont consacrées à Sainte Barbe.  

A Paris, les élèves de l’Ecole des Mines avaient coutume de procéder à une cérémonie dans les Catacombes et carrières de Paris le jour de la Sainte Barbe. Cette cérémonie est soigneusement décrite dans l’ouvrage de Barbara Glowczewski & Jean-françois Matteudi : La cité des cataphiles.

Dans les carrières, les carriers ont parfois aussi rempli le rôle d’artificiers, qu’il s’agisse de foncer un puits (Carrière de 3 fontaines à Bonneuil-en-Valois) ou de purger le ciel de carrière après le mauvais arrachage d’un bloc (Carrière Sarazin).

Pour illustrer ce dernier exemple, vous pouvez retrouver la synthèse de nos observations dans un article de l’Echo des Carrières N°11 intitulé Quand les carriers d’Eméville faisaient parler la poudre.

(c) Texte et photos F. Chaut

Un copier coller de  http://carrierespatrimoine.wordpress.com/2012/12/04/sainte-barbe/

Merci Francois

La belgique souterraine en novembre

Ce vendredi soir nous partons direction Valenciennes chez un membres du club pour dormir.

Samedi matin nous chargeons la voiture et direction le gouffre du puits au lampes a coté de Rochefort.
 Nous passons a coté du nou-moulin et décidons d'aller voir l'entrée inférieur, a l'entrée des spéléo ce préparent à rentrées sous terre nous visitons tranquillement avec nos frontales.

 L'entrée du réseau inférieur.

 Dans la cavité.















Arrivé à l'entrée du puits aux lampes nous cassons la croute en préparent les cordes, et notre matériel , au passage un baudrier de poitrine est casser je le prend et prête le mien a Caroline. Jérémy commence a équipé nous restons en haut. Âpres quelques minutes je descend le rejoindre et arrivons en bas.

La cavité est pas grande, mais le volume est impressionnant je sors l appareil photo et commence a prendre des photos
 

 La première est très sombre on voit rire.












 Ensuite nous visitons la cavité à la recherche d un méandre que nous trouvons pas la topo est resté en haut.

 Mais il est ou ce méandre.










 Je décide de tenté une dernière photo et enfin je réussi ma photo

 Enfin une réussi ouffff










Nous remontons tranquillement la journée est fini nous allons a Namur pour dormir

 L'entrée du puits aux lampes busé.









 

Le dimanche nous décidons d'aller a la carrière des grand malade qui oblige a passer par le trou des charrues.
Arrivé sur le parking le vent et la température extérieur donne vraiment pas envie de ce changer.
 L'entrée ce trouve en haut d'une pente glissante, je décide de resté en bas quelques temps le temps qu'ils équipent les premiers puits, une demi heure après je les rejoints et donne quelques conseils pour amélioré le confort et économisé la corde car la main courante au tout début est plus longue que prévu. Les points sont présent mais certain frottement sont très dur à évité tempi ça frottera un peu la roche est pas trop agressive pour la corde.

Une fois en bas nous visitons la carrière et profite pour testé mon appareil la dernière fois je m’étais casser les dents ici faute de lumières cette fois c'est nettement mieux un vrai plaisir.

 Une ancienne entrée.

 La pente naturel de la carrière.

 Les escaliers de la carriere vu d'en bas.










J'essaye de changer ma façon de faire en donnant des flashs a mes assistants, ils déclencherons les flashs manuellement a mon signal.

 L'aménagement de la carrière surement utiliser quand elle servait de Lépreuserie.

 Les escaliers vu du milieu.

 Et enfin vu d'en haut.

 La roche est vraiment sombre.

 Une des grandes salles de la carrière.

 Les maçonnerie en brique rouge sont très jolie.










C'est pas parfait mais le résultât est correct, la méthode est à amélioré mais c'est déjà super.

La visite ce passe au rythme des photos et remontons a la surface. Je me rend compte en bas du puits que j'ai perdu mon torse casser pas le temps de le chercher une ficelle et un mousqueton et c'est parti pour déséquipé la cavité. Mon sac avec le matos photos est remonté par mes coéquipiers
 Nous allons manger sur les hauteurs de Namur sur les fortifications de Vauban.

Namur vu des fortifications

Un week-end bien sympa et tranquille entre amis les deux cavité sont vraiment sympa a visité. Merci a mes camarades de c'etre prêté au jeux des photos c'est vraiment un plaisir pour moi de sortir avec vous.

Premiere dans l'yonne

Ce dimanche d'octobre réveiller un peux tôt ou un peux tard par mon téléphone un ami est devant chez moi il passe me chercher pour aller dans l'Yonne, bien-sur je suis encore dans mon lit.
Direction Senlis nous prenons un autre spéléologue solitaire et allons récupéré deux spéléos en région parisienne. Âpres quelques kilomètres nous arrivons dans l'Yonne. Petit arrêt aux café au coin sans café dur de ce mettre en route.

Nous avons prévu d'aller visité le gouffre de Villepot l'entrée ce situe au bord d'un chemin un peu a l’écart du village.
Une fois en tenue nous commençons la descente j'ai prévu suffisamment de corde pour tout équipé en double mais finalement seul le premier puits sera en double.

Nous descendons les puits tous les parcours sont sur broches et vraiment bien placer c'est un vrai bonheur d’équipé bien dommage que je dois surveiller celui qui équipe car les puits parallèle ont l'air bien sympa a descendre et surtout a équipé.

En bas du deuxième puits ça part en main courante que le plus jeune ne passera pas il restera la à nous attendre (il préférerai être devant ça console que sous terre ) on ce rejoint tous en bas du puits. La roche gruyère nous fait rire (il est passer par la et repassera par la )

 Au fond de ville pot.










 

La remonté commence et on commence les photos (pas avec mon appareil snifffff) mais mon flash est avec moi nous fessons quelques photos dans les puits pendant que le dernier défait les cordes la sortie est proche.

 Antonin sert de model Hervé au commende et moi au flash au dessus.

 Les verticales sont vraiment jolie et la cavité bien équipés.

 Vue sur le double fractionement vraiment confort la sortie.

 La sortie est en vue.












En haut nous profitons pour manger et direction la riviere souterraine du puits bouillant.

Cette cavité est fermé a clé nous allons eu la clé par une simple demande au CDS de l yonne (reponse trés rapide). L'entrée de la cavité ce trouve dans la cour d'un gite. Apres avoir mit les tenues de combat et la ferraille nous descendons dans le puits.

Dans la cour du gite devant le gouffre.

 L'entrée de la rivière.












Le puits d'une trentaine de mètres nécessite une corde car les échelles en place sont vielles.

Une fois tous en bas nous visitons tranquilement en remontant la riviere le debut est tranquille quelques bloc a contourné et nous arrivons sur de manifique marmites et cascade. J'essaye de me mouiller le moin possible si possible gardé les pieds au sec avec les botes.

 Passage des marmites.

 Loupé un gours n'oblige a ne mouiller un peut plus et donc en profite pour me mouiller jusque la taille (l'eau est bonne ca change de la riviere de gournier dans le vercors ou l eau etait trés trés froide) , un compagnons renonce a aller plus loin et fait demi tour. Nous continuions a 3 je m'arrete devant un trou d'eau ou j ai l impression que l'eau sort de ce passage noyé effectivement car l'eau sale a cause de notre passage est remplacé par de l eau clair c'est trés jolie a voir.

Nous decidons d'aller jusqu'au siphon. Le siphon est en vue petite photo de groupe

 Pause devant le siphons.











et je resite pas a faire une photo je m'imerge completement pour la photo

 Aller un peu de plongée (en plus elle est bonne)













 Je suis trempé nous fessons demi tour et ressortons de la cavité.


Une très bonne journée deux cavité visité a faire en 1 journée parfait pour faire les initiations aux personnes qui veulent connaitre la spéléologie A 3 heure de chez nous.    

Sur le site d'Hervé d'autre photos http://maspeleoamoi.monwebeden.fr/#/puit-bouillant/3727755

Une grosse perte pour moi.....

Début du séjours dans le Vercors et première sortie pour mon appareil photo

Nous partons visité la grotte Favot a 4 personnes cette cavité est une classique du Vercors. Il faut ce garé peux après le pont de goule blanche. La marche d'approche de cette cavité est raide environ 200 mètres de dénivelé positif , ce que j'aime pas du tout ....

En haut une superbe vu on ce change et arrive en haut de ce tunnel c'est incroyable de ce dire que l'eau pouvait sortir par ici ....

 La vue d'en haut.

 L'entrée du tunnel une bonne pente difficile d'imaginé l'eau sortir par ici.

 Aller on équipe un peux plus vite stp.....














On commence a équipé la petite main courante sur broches qui permet une descende et surtout une sortie confortable, le sol est très glissant. Prendre 50 a 60 mètres de corde et 10 mousquetons.

Je descend en premier car je veux faire une photo avec des personnes pour donner l’échelle.

Vue d'en bas  la dernière de mon appareil.

 Celle de Jérémy

Une fois tous en bas je continu et d'un geste brusque l'appareil photo tombe sur l'objectif et mon appareil ne marche plus. Je suis tellement déçu que je fais demi tour et remonte c'est fini des photos pour le séjours et pour un moment.

Appel aux dons

Donc si vous avez un ancien reflex que vous vous en sépare je suis preneur!!!! Je suis pas difficile et peux meme venir le chercher juste qu'il marche encore un minimum si le flash marche pas ou l'auto focus c'est pas grave je prend quand même

Merci a vous

La fête des spéléo en picardie a Coyolles

Le dimanche 1er juillet je serai la riviere souterraine de Boursonnes Coyolles. La fête des spéléo de Picardie a lieu a cet endroit et nous vous proposons de visité la cavité a 30 mètres sous terre.

La chauve-sourie de l'entrée.

 Le puits en bord de la ligne SNCF.

A l'entrée l'inscription obligatoire pour monté dans les arbres ou bien pour descendre dans le puits.

Cette cavité est unique en Picardie suite au besoin d'eau de la gare ferroviaire un puits a était creusé et a débouché sur cette cavité a quelque centimètres prés la découverte aurai jamais eu lieu.

Au cour de cette journée plusieurs activité vous serrons proposé une exposition sur le monde souterrain une initiation au technique de spéléo alpine et la visite de la rivière souterraine.

La cavité.

 Initiation a la remonté sur corde.

 

Une exposition photos pour découvrir la spéléologie, la diversité du monde souterrain et la biodiversité cavernicole. Les chauves souries, la faunes cavernicoles et d'autre chose qu'un spéléos est amené a faire sous terre comme la topographie et la recherche d'eau.etc. Vous découvrez l'attrait de ce ce monde souterrain.

L'exposition.

L'initiation aux technique de spéléo alpine pour les petits et les grands. Dans de beau arbres nous vous errons découvrir les technique de spéléo alpine et notamment la remonté aux bloqueurs , comme les spéléos font pour remonté a chaque verticale. Cette technique est la méthode la moin fatigante pour remonté des gouffres en ce fatiguant le moin possible.

 La remonté sur corde même les enfants en profite.

Et bien sur la visite de cette cavité la rivière de Boursonne Coyolles. La visite commence par l’équipement, baudrier longe et biensur le casque avec l’éclairage électrique. Le carbure avec la petite flamme est interdite pour protégé la cavité.

 Départ pour le fond il y a juste a ce laisser faire.

 Le puits et tous le materiel en place.

La descende dans le puits ou l’équipes présentes de spéléo vous descendrons dans ce puits pour atteindre la profondeur de 30 mètres sous terre.

Commence la visite en suivent la galerie principale nous arrivons a la rivière un passage a était aménagé avec les blocs présent dans la cavité. Ce qui évite de prendre le radeau pour la traversé du lacs, mais vous pouvais choisir la traversé a pied mais ça mouille un peu les pieds. 

 La riviere en 2011.

La riviere en 2010 

 En 2010

 En 2012

 Le dessin du casque a pointe qui garde un oeil sur les visiteurs.

 En juin 2012

Au bout du lac a droite le départ vers le réseau noyer et a gauche un petit passage creusé par des spéléos au cour de nombreuses stances. La suite serra indiqué par les personnes en bas qui vous guiderons 

 Départ vers le réseaux noyer plongée en juin 2012.

 Plus loin une salle avec plein de dessin fait par les prescedant visiteurs.

L'ancien captage d'eau.

Je vous laisse imaginé la suite la seul façons de découvrir la suite est de venir voir par vous même.................... Avec quelques photos.

Merci
A la communauté de commune de Villers-Cotterêts,
 Mr Marc Charles maire de Coyolles pour ça participation a la manifestation.